Un déplacement qui commencera pour Malek, Nicogoooooaal et moi-même à la Porte d'Orléans, où, étant un petit peu en avance, nous irons boire un coup "Chez Tonio". Le barman est sympa, il m'a mis un double whisky pour le prix d'un simple. Le bus arrive vers 12:48 (environ), nous rejoindrons donc nos amis dans celui-ci. Après le traditionnel bonjour de rigueur, j'apprécie grandement les bières qui ont passées la nuit dans mon frigo, vu la chaleur.
Puis comme à l'accoutumée, je me balade beaucoup dans le bus, parlant de tout et de rien avec beaucoup de personnes. Boucansaud, il n'est pas bon, Gomis, il a toujours fait sa boulette contre Auxerre, Raineau, on ne le voit pas trop, bref, rien de nouveau sous l'soleil. Antoine est le grand-père de Sonia, mais en fait non. Mais il a vécu à Paris, une expérience intéressante d'ailleurs. Pas mal parlé avec Eric et Sonia (une autre encore), de Potigny, masseur-kiné et élève aide-soignante. Des gens bien aussi (mais qui a dit qu'on en douterait). Ils connaissent de ma famille, et j'ai arbitré son fils il y a 3 semaines. Le monde est petit. Et bien sur, il y a JP et Marie-No. Et le tonton de Tomy, qui fait des mots fléchés trop durs pour moi, fiou.
Bon, puis ça boit, ça partage, je trinque avec pas mal de monde, pas à me plaindre de ce côté-là, merci

. A la pause du midi qui durera 1h, je décide d'aller chercher à manger au bout de 55mn. C'était cool.
Avant d'arriver, on se met chic. Aller au stade en cravate, franchement, ça fait drôle

. Pour le match, ben on perd 3-1, mais ça on le sait déjà. J'y ai cru jusqu'au bout. Juninho qui sort, applaudi respectueusement.
L'après-match m'a paru long, le feu d'artifice était beau, certes, mais bon. Enfin ça, c'est du détail.
Puis le retour, ben tout le monde était amorphe, c'était dingue. J'avais pas envie de dormir moi

. J'ai fait connaissance avec d'autres gens, un bon anniversaire à Simon qui en fait s'appelle Julien, et un boujou à Clémence-Charlyne-Lydie dont je me suis aperçu cet après-midi que j'avais encore son élastique au poignet, en plein milieu du match de Basly, arf. Puis à son frère et à son pote Stéphane. Fiou, j'en ai pas oublié? Bon, ce fut cool aussi ça.
Emilie disait ne pas dormir en déplacement. Je l'ai donc secoué à quelques reprises, mais elle a quand même menti. Elodie et Lucie voulaient discuter, mais avaient une discussion a priori limité (elles avaient tout épuisé... c'est dingue de me dire ça, moi qui ait toujours quelque chose à dire, la preuve avec ce CR

). Puis au bout d'un moment, j'ai arrêté de faire chier mon monde, j'ai été me poser à une place disponible, rediscutaillé un coup avant de somnoler un peu.
Après l'ultime pause, tout le monde regardait les classements, tous les scénarios de maintien ou de relégation, de Bordeaux champion ou pas, tout ça est fait, refait, rerefait. Même JP qui regardera l'Equipe de la veille pour regarder ce qu'il y avait de changé

. Et puis, Johnny, 'ah que, il est pas mort, ce n'est pas un mythe'. Il va à Deschaseaux mais JP s'y refuse totalement.
Puis voilà, ben j'continue de me balader, le fond comatait toujours autant, c'était dingue
Retour sur Caen vers 9h30 je crois.
Un agréable déplacement pour ma part
Ah et au fait, pour Dominique, avec la question existentielle de comment on départageait des égalités en Ligue 1 :
LFP.fr a écrit :En cas d’égalité de points, le classement des clubs ex-aequo est déterminé par la différence entre les buts marqués et les buts concédés par chacun d’eux au cours des matches joués pour l’ensemble de la division.
En cas de nouvelle égalité, avantage sera donné au club ayant marqué le plus grand nombre de buts.
En cas de nouvelle égalité, les clubs seront départagés à la différence de buts lors des rencontres disputées entre eux. Si l’égalité subsistait encore c’est la LFP qui départagerait les clubs en fonction de leur bonne
tenue :
– avertissement = 1 point,
– carton rouge = 3 points.